Résumé en partie de l'atelier du 10 mai 2025.

textes des réunions de 1955

Amis, mes frères, vous dirai-je ma joie de vous retrouver en cette exèdre où se réalise la paisible communion de nos âmes !

 

 

 

DARGAUD : Vous avez exprimé beaucoup mieux que nous ce que nous ressentions pour Mr Louveau.

 

Nous avons appris une chose intéressante, c'est cette imprégnation inconsciente de vos enseignements.

 

Il est bien certain que la vie actuelle, pour la plupart d'entre nous, ne permet pas toujours de nous pencher suffisamment sur vos textes, et il est important de savoir que, malgré tout, nous avons une imprégnation qui nous fait progresser.

 

Je vous remercie beaucoup pour cet exorde.

 

J.B.M.L. : Il y a un dicton qui dit : "Combats plutôt que de devenir un esclave".

 

Ici, pour vous amis, je fais œuvre spirituelle, œuvre de libération du "moi" impérissable.

 

Notre combat est collectif, il nous confronte face aux mêmes problèmes ; mais il s'agit, dès lors, d'équations à multiples inconnues. C'est pourquoi j'ai besoin de toute votre attention pour vous démontrer l'existence de lois inconnues des humains.

 

Oh, ne tremblez pas ; tout s'accomplit en accord avec la conformité de l'esprit et de l'être corporel, aux exigences d'une évolution nécessaire.

 

A l'arrivée, il y aura des retardataires, mais le destin a ses responsabilités face au développement de la conscience humaine.

 

En réalité, l'homme est identique à ce que Dieu en a fait.

 

Évidemment, il appartient à la volonté, à l'intelligence, de corriger en soi certaines imperfections inhérentes à la spécificité humaine.

 

Maintenant, amis, vous avez toute liberté pour me proposer des questions de votre choix !

 

DARGAUD : Nous allons profiter de cette proposition.

 

 

 

DARGAUD : J'avais demandé à Mr Pauillac il y a bien longtemps, de m'apporter quelques numéros qui me manquaient.

 

Il se trouve que parmi les numéros que Mr Pauillac m'a apportés ce soir, il y a le numéro 143, de la séance du 4 novembre 1965.

 

Avec l'accord de Mr LOUVEAU fils, je vais vous lire une question de Mr LOUVEAU, et c'est tout de même curieux de retrouver, dans ce numéro que j'attendais depuis si longtemps, une question, que voici, posée par Mr LOUVEAU :

 

 

 

"LOUVEAU : Cher Maître, dans des communications données par écriture automatique, Albert Pauchard, en son vivant Président de la Société d'Études Psychiques de Genève, affirme à plusieurs reprises, et en insistant sur ce point, que les visites au tombeau sont cause de souffrance pour les désincarnés. Que doit-on en penser ?

 

Et vous aviez répondu ceci :

 

"J.B.M.L. : J'ai franchi la porte mystérieuse du trépas et je n'ai jamais constaté semblable phénomène. L'hommage des vivants qui se traduit dans le recueillement, qui incline une forme humaine devant une tombe, prend le caractère d'un témoignage de durable affection, et je sais que loin d'en éprouver une souffrance, les trépassés qui sont les vivants de l'Autre Monde, reçoivent cette offrande qu'un cœur qui n'oublie pas fait à une âme qui sait ce que veut dire "aimer".

 

 

 

DARGAUD : C'est une très belle réponse.

 

J.B.M.L. : Nous l'avons appris de façon évidente : la mort n'est qu'une apparence, étant donné qu'après le divorce inéluctable de l'âme et du corps, la vie, inhérente au mouvement atomique, continue en restituant à la vie universelle les atomes d'oxygène, d'hydrogène, de carbone et d'azote, qui constituent la texture des vertèbres.

 

Un fait éclate et se démontre ; la vie, le mouvement sont en tout et partout, et se réalisent dans tous les azimuts. La vie se restitue à la vie et, pour elle, il n'y a pas de clôture strictement hermétique.

 

La Création, dès la nuit des Temps, a été conçue sur le principe immuable de l'éternité de la matière.

 

L'âme se sépare de ce qui fut son enveloppe charnelle, mais l'esprit demeure le principe qui meut la masse ; on ne peut rien convenir de vrai en dehors de cette loi, et n'oublions pas que le mouvement infra atomique comporte des vitesses extraordinaires allant jusqu'à plus de cent mille kilomètres par seconde.

 

La vie est en tout et partout, et toute chose a été conçue en accord avec cette loi.

 

Même en ne considérant qu'une simple cellule humaine, elle s'apparente aux micro-ondes que l'on appelle des hyperfréquences ; ce qui suppose des ondes ultracourtes disposant naturellement d'une fréquence élevée.

 

A ce propos, permettez-moi une brève interpolation : les micro-ondes vont avoir une importance considérable dans la médecine, car elles seront en mesure de détruire des cellules cancéreuses.

 

En laboratoire, on a déjà créé des cellules mercenaires, qui détruisent des éléments toxiques et même cancéreux. Mais il s'agit en l'espèce de micro-ondes, dites hyperfréquences, donc des choses aux radiations ultra courtes, pour anéantir les infections toxiques et même cancéreuses.

 

Amis, souvenez-vous qu'un soir, je vous ai dit que, dans la décade en cours, la science triomphera du cancer !

 

 

 

PAUILLAC : Mais quand le guérisseur agit sur un malade, les ions négatifs qu’il envoie, sont-ils apparentés aux micro-ondes ?

 

J.B.M.L. : Oui.